Description
Résumé :
L été viennois de 1714 favorisa la composition des deux opuscules de GW Leibniz que nous présentons. On avait pu juger par l édition Lestienne du Discours de métaphysique quelle distance séparait le – bon texte – de ses approches : les brouillons copies des deux opuscules viennois contribuent à faire éclater le pseudo-concept de – bon texte puisque l écriture d un discours philosophique leibnizien est une méditation scripturaire montante.
Aussi fallait-il cette présentation cinématographique dont P-M Schuhl avait mesuré et exprimé l intérêt pour ce qui fut notre première publication : les trois écrans d Abel Gance trouvaient une application dans l édition des textes métaphysiques et Heidegger ne s y est pas trompé ! Ce qui est la rédaction terminale de par la contingence historique plus que de la volonté de l auteur toujours porté à de nouveaux écrits ne représente que le tiers de l écriture dépensée.
Quarante-cinq ans plus tard je puis confirmer en général que nous n avons encore que le septième de l oeuvre correctement éditée et que chaque écrit leibnizien révèle autant par ses ratures que par son état d avancement. La présente édition a servi de base à de multiples traductions et commentaires. Elle conserve par sa présentation audacieuse de l époque la fraîcheur d un texte se faisant..
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