Description
Résumé :
Extrait du quatrième de couverture
L histoire de la ville de Palaiseau est émaillée de titres de gloire : la cité a compté en effet parmi ses enfants le jeune Bara mort en criant : « Vive la République » face aux Vendéens elle a recueilli le cœur du Grand Arnauld (père du jansénisme) dans sa chapelle seigneuriale en 1710 abrité François-Denis Tronchet avocat de Louis XVI devant le Tribunal révolutionnaire pendant la Terreur et reçu Béranger qui y venait en villégiature et motif de célébrité supplémentaire : l action de La Pie voleuse opéra célèbre se déroule dans ses murs. Ces quelques exemples d une notoriété dispersée dans le temps et dans l espace – il y en a beaucoup d autres – représentent des moments non négligeables des chroniques palaisiennes mais les données essentielles du passé de ce petit village devenu une grande cité dans la seconde moitié du XXe siècle résident ailleurs : elles sont liées à la pérennité de cette localité à travers vents et marées depuis l époque où elle était une résidence royale mérovingienne jusqu à aujourd hui. C est ce que nous montre ici avec un grand luxe de détails Gabriel Dauphin relatant avec la même précision le quotidien des Palaisiens d autrefois que les événements proprement historiques.
Il retrace donc d abord l histoire de Palaiseau depuis Childebert guerrier sanguinaire et fondateur de l abbaye de Saint-Germain-des-Prés si importante dans le destin de la cité jusqu en 1870 (occupation ennemie) en passant par la… © Micberth.
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