Description
Résumé :
Succédant aux antérieurs repérages du temps la chronométrie est validée par les lois du mouvement des Kepler et Galilée préludant à tout le développement de la physique fondamentale. La vitesse est le deus ex machina projetant le temps sur l espace. Vers 1900 la physique découvre le privilège de la vitesse de la lumière : un universel coefficient d équivalence c entre espace et temps mesurable. La première partie du présent ouvrage examine les nombreux tenants et aboutissants de cet aspect interpersonnel du temps. Le temps intérieurement vécu celui qui extériorise un pouvoir d organisation dans la société humaine et déjà dans l évolution animale ou végétale a un aspect négatif énoncé par le principe de dégradation de Carnot interprété peu après comme la tendance des choses vers le désordre. Un retour de balancier survint avec l avènement de l informatique. La formule de probabilité des causes ou de la probabilité conditionnelle est réversible : sous les recettes du codage et du décodage la cause finale d Aristote revient ainsi en scène comme de droit symétrique à la cause efficiente. Information-organisation information-connaissance sont ainsi l avers et le revers d une même médaille. Cet autre aspect du Temps des physiciens est examiné dans la seconde partie de l ouvrage..
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